Un gay fait de l'auto stop

Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 9 ans
Fin juin, milieu des années 60 … cela fait deux ans que ma vie sexuelle a commencé et que mon anus a été défloré, me révélant qu' il était comme un deuxième sexe, comme si parfois je devenais fille avec un minou et une bouche avides de bites.

Depuis, initié à tous les plaisirs ( surtout l’ uro et les partouzes ), je suis curieux de tout ce qui est sexuel et surtout insatiable, ne refusant jamais les occasions lorsqu’ elles se présentent.

Les examens sont finis et mes parents ont accepté que j’aille rejoindre des copains partis camper dans le Midi. Dans ma poche, j’ai mes papiers et l’autorisation de voyager seul, l’argent des vacances mais je décide de faire le trajet en stop pour épargner le prix du train mais aussi parce que je suis habitué à faire du stop.

Très souvent, je suis pris par des hommes seuls et j’ai vécu des aventures assez spéciales. Quand je monte dans une voiture, je sens tout de suite si le conducteur aime les garçons et ça m’excite lorsqu ils font des approches en guettant mes réactions.

J’ ime ça, allumer des inconnus, qu’ils me regardent ou me parlent avec envie, me testent.

S’ils me conviennent, après avoir un peu joué à l’ innocent, je provoque, parfois je m’ exhibe et je n’ hésite pas à accepter de les branler s’ ils me conduisent où je veux aller. J’adore découvrir de nouvelles bites, voir leur désir, les faire bander, jouer avec.

Si elles me plaisent, je les suce et quand j’ en ai envie, je m’ offre aussi spontanément pour me faire sodomiser si les circonstances le permettent. J’aime me faire prendre et obtenir ce dont j’ ai envie en échange de ma bouche, de mon cul…

A l’ époque, il n’ y a pas d’ autoroute et le voyage se fera en deux étapes, peut être trois, mais je ne suis pas très soucieux de cela, certain que je trouverai des voitures, des lits et repas car je suis bien décidé à payer en nature et offrir mon corps si ça en vaut la peine.

A 10 heures du matin, il fait déjà très chaud et au bord de la route, je porte une chemise à manches courtes dont plusieurs boutons sont ouverts, un short de tennis serrant en tissu léger presque transparent et des sandalettes de gym sans lacets. Posée sur le sol, contre mon sac de voyage, une petite pancarte sur laquelle j’ ai écrit Côte d’ Azur.

Le matin même, j’ ai rasé les poils de mon sexe et de mon anus et le reste de mon corps est naturellement imberbe. Tous les homos âgés que j’ ai rencontré aiment ça et après avoir quitté la maison, j’ ai ôté mon slip en sachant que ça se remarquerait car j’ ai testé devant le miroir.

Et si ma bite gonfle un peu ce sera flagrant d’ autant plus que j’ ai laissé un bouton de la braguette ouvert. J’ imagine le tableau : un ado, blond, mince, dont le sexe est presque visible au travers du short et qui fait du stop pour un long voyage !

Il ne faut pas cinq minutes pour qu’ une belle Mercedes passe devant moi et s’ arrête quelques dizaines de mètres plus loin. Au passage j’ ai vu qu’ elle était conduite par un homme chauve qui avait l’ air assez âgé et qu’ il était seul. Je saisis mon sac, trotte vers la voiture et sens mon cœur battre plus vite en espérant que ce soit un papy homo et qu’ il aille assez loin. J’arrive à sa hauteur et me penche devant la vitre baissée.

Bingo.

Il doit avoir une soixantaine d’ années, ôte ses lunettes solaires et à la manière dont il me regarde je comprends tout de suite ; dans ses yeux qui fixent brièvement le bas de mon ventre, je vois cette lueur d’ intérêt un peu pervers que j’ ai appris à reconnaître chez certains hommes et il ne peut s’ empêcher d’ avoir une expression gourmande quand il me sourit en passant la langue sur ses lèvres charnues.

Ouaww, je rêve déjà de mettre ma queue dans cette bouche lippue !

Il a un visage sympa, des cheveux blancs coupés courts et ressemble à plusieurs hommes que j’ ai déjà rencontrés et qui m’ ont fait tout ce que j’ aime avec beaucoup de sensualité. Il porte une chemise en coton, manches retroussées et boutons ouverts ainsi qu’ un pantalon clair sans ceinture et lorsqu’ il se tourne légèrement sur son siège, je remarque que le dessus du pantalon est juste dégrafé, sans doute pour ne pas comprimer son ventre.

Je lui souris aussi, lui demande où il va et il me répond qu’ il pourrait me laisser à Beaune et me dit de mettre mon sac sur la banquette arrière.

  • Super, c’ est à mi chemin !

Une minute plus tard, je suis confortablement installé sur la banquette avant ( pas de sièges séparés et pas de console centrale au sol ) et nous sommes en route. Il fait chaud, les vitres sont ouvertes car à l’ époque il n’ y avait pas de clim dans les voiture ; la Mercedes est toute propre et l’ intérieur sent bon l’ eau de toilette.

Il n’ y avait pas de ceinture de sécurité non plus et je remarque que maintenant les deux boutons supérieurs de sa braguette sont ouverts en plus du dessus, me disant qu’ il a du les ouvrir pendant que je mettais mon sac à l’ arrière. C’ est bien visible et il a fait ça soit pour me tester soit pour caresser sa bite plus tard sur la route comme c’ est souvent arrivé quand je faisais du stop.

Ça excite mon imagination car je réalise qu’ il a déjà des idées et qu’ il fera des approches.

Pendant les premières minutes, nous échangeons les banalités d’ usage et je me présente, le rassurant que je suis pas un ado fugueur, lui mentant sur mon âge auquel je rajoute une année pour qu’ il n’ ait pas peur que je sois trop jeune pour me baiser et lui expliquant que je rejoins des amis. Lui s’ appelle Paul, est grand père, etc … et va à Cannes chez sa fille mais compte descendre en trois jours. Oupsss, je me dis immédiatement que ça me conviendrait parfaitement de faire le voyage avec lui et qu’ il prendrait soin de moi … sur tous les plans !

Tout en parlant, je l’ observe ; il est très soigné et correspond exactement au genre d’ homme par qui j’ aime me laisser faire, tripoter, peloter, lécher, baiser … Je constate qu’ il est rasé de près, qu’ il n’ y a pas de poils sur ses avant bras ni au travers de la chemise ouverte. Ses mains, ses doigts, ses ongles sont très nets et je les imagine caressants, autour de ma queue, de mes couilles, explorant ma fente, ouvrant mon petit trou, me doigtant, mmmmh …

Sa bouche est très sensuelle et j’ imagine aussi ses lèvres charnues m’ embrassant partout sur la peau, sous les bras, sur mes tétons, dans ma raie, sur ma corolle, autour de ma bite, avalant mon gland … ses dents sont trop belles pour être vraies et j’ adore être sucé par un homme qui enlève son dentier pour me faire une pipe d’ enfer.

Nonchalamment, je bouge un peu sur la banquette et me mets de trois quarts, adossé à la portière, les jambes naturellement ouvertes. Le petit short découvre mes cuisses jusque très haut et le fait que ma braguette soit entre ouverte doit être bien visible même si sous cet angle il ne peut pas voir au travers. Ma chemise est elle très largement ouverte tout comme la sienne car il fait fort chaud dans la voiture.

Il se tourne régulièrement vers moi quand nous parlons mais à cause des lunettes solaires je ne vois pas où va son regard mais je devine que le spectacle que je lui offre l’ excite car il a rougi et sa bouche fait des grimaces gourmandes. Je sens alors mon mandrin gonfler, se raidir un peu et se heurter à mon short qui l’ empêche heureusement de se déployer et de se dresser complètement.

Mon gland décalotté est hypersensible et frotte contre le tissu tendu et déformé et je suis certain qu’ il a remarqué la bosse car je vois son visage se congestionner et, là où son pantalon est ouvert, j’ aperçois qu’ une protubérance cachée sous le tissu blanc d’ un slip se forme : il bande.

A ce moment, d’ une voix un peu tremblante il me demande si je fais souvent du stop pour voyager et si ça marche bien. C’ est une question habituelle des approches et je réponds que j’ en fais très souvent, que je ne dois jamais attendre longtemps avant d’ être pris et que ce sont presque toujours des hommes seuls. La question suivante est encore plus classique :

  • Et il ne t’ arrive jamais des aventures, des choses spéciales … demande t’ il sur un ton hésitant.

Sa confusion, son approche hésitante m’ excitent à fond et je lui réponds de manière perverse :

  • Quelles aventures ? des choses sexuelles ?

Il se tourne vers moi avec un air surpris et je rajoute :

  • Si … très souvent, des hommes me demandent des trucs et je me laisse faire … s’ ils sont gentils avec moi …

Ma queue est devenue toute dure, prête à percer le short, alors, sans aucune gêne ni pudeur, je me tourne un peu plus vers lui et je bouge sur la banquette pour prendre une pose lascive et que le bas de mon ventre soit à portée de sa main. En même temps, je tiens mon short de manière à ce que mon gland puisse passer dans l’ ouverture de ma braguette et que ma tige se déploie devant lui tandis que je le regarde en prenant une expression perverse.

Je suis excité à m o r t et comme dans un brouillard, je vois son bras se tendre vers moi. Je souris d' un air consentant pour l' inviter à poursuivre son geste. Ses doigts touchent la peau tendre du haut de ma cuisse, au bord du short et je ne me dérobe pas quand il caresse délicatement ma peau sensible et me fait frissonner. Au contraire, je ferme les yeux, soupire et ouvre complètement ma braguette pour laisser jaillir ma bite qui bondit comme un ressort et se dresse verticale, toute dure et raide.

La base de la hampe et mes couilles sont coincées et je relève les fesses pour faire glisser le short et dénuder complètement le bas de mon ventre en poussant carrément mon sexe rigide vers sa main.

Il n’ attendait que ça et j’ ai comme un choc électrique quand ses doigts s’ enroulent autour de ma tige ; je soupire de bonheur. Lui aussi …

Je le laisse me toucher en gémissant et il joue avec mon boudin de chair, me masturbe un peu, fait coulisser mon prépuce, caresse mon gland. Ma queue sursaute, bondit sous ses caresses.

  • Quelle belle bite tu as, tu aimes ça on dirait ?

  • Oh oui, j’ adore, caresse moi, j’ aime …. Touche moi partout …

Et je me tourne encore, arquant mon corps, cambrant mon dos en écartant les cuisses pour qu’ il comprenne que ses doigts doivent poursuivre leur exploration. Ses doigts enrobent mes couilles, une phalange passe entre mes cuisses …

  • Quels trucs tu te laisses faire quand les hommes sont gentils avec toi ? demande t’ il d’ une voix plus assurée …

  • Tout, j’ aime tout, je laisse tout faire …

Sa main quitte mon ventre un bref instant puis revient sur moi et je sens le bout de ses doigts mouillés s’ insinuer sous mes couilles, glisser vers mon anus. Mmmmmh, il effleure le bord de mon œillet et je relève les cuisses, me tends totalement vers lui pour qu’ ils viennent bien sur mon orifice qui pétille, frétille, s’ ouvre déjà en mouillant d’ envie. Il presse un peu, je sens qu’ il est à l’ entrée et j’ avance encore mon cul, ma rosette vers lui en gémissant :

  • Oooooh … ouiiii

Mais j’ ai aussi très envie de toucher, de voir sa bite, de la palper, la branler, de la sentir, la renifler, d’ avoir un gland en bouche …

Ça y est, mon côté fille commence à prendre le dessus … je veux une queue ! Alors, je repousse sa main et me laisse glisser le long de la banquette, m’ agenouille sur le sol de la voiture et ma main va caresser le gros bout qui déforme son slip au travers de la braguette ouverte. C’ est bien gros, charnu, dur et je fais glisser la ceinture de son caleçon pour libérer son gland.

Il est tout mauve, gonflé à exploser et une gouttelette sort du méat. Lui couine, crie presque et je me contorsionne pour approcher ma bouche de ce bonbon que j’ ai tellement envie de sucer. Il bouge pour que je puisse passer la tête entre son ventre et le volant.

Je me suis emparé de la hampe que j’ ai complètement sortie du slip et j’ admire sa bite. Le boudin est épais, le gland est bien gros et le prépuce retroussé forme des plis bien charnus. Elle est bien dure, veinée … dommage qu’ elle ne soit pas rasée ! Je m’ approche pour la renifler … elle sent bon la queue avec un petit parfum de pipi frais comme j’ aime.

Il respire de plus en plus fort et pousse un cri lorsque le bout de ma langue lape la goutte qui perle à son méat. L' engin bondit dans ma main et je plonge, la bouche ouverte pour engober le gland tout en tirant le prépuce à fond vers la base de la tige que je désire avec gourmandise. Mmmmh, son gland est délicieux, la chair est toute tendre et je l’ embrasse amoureusement, avec passion en enroulant ma langue que je fais tourner tout autour.

J’ enfonce toute la bite dans mon gosier.

  • Mmmm, elle est bonne ta queue, j’ aime la sucer …

Je pompe, je suce, je tète, je lèche, j’ embrasse le chibre sur toute sa longueur. Ça dure un petit moment puis je le lâche et je lui dis :

  • Change de route, trouve un endroit tranquille, j’ ai envie de sucer ta bite à fond, de boire ton jus.

A l’ instant même, on aurait pu avoir un accident car il fait un écart puis, sans dire un mot, il met son feu de direction et sort de la route principale au carrefour suivant pour aller vers un petit bois. Moi, je me redresse, me réinstalle sur la banquette et le laisse me masturber tout doucement en m’ exhibant lascivement. Il branle bien, ses doigts sont doux et sa main bien puissante va et vient tout au long de mon braquemart gonflé et dur comme jamais.

J ôte mon short, écarte impudiquement les cuisses, ouvre ma chemise pour exciter mes tétons tout en guidant aussi plusieurs fois ses doigts vers ma rondelle qui s’ ouvre de plus en plus. A un moment les bouts de deux de ses doigts me pénètrent vraiment bien et je feule :

  • Mmmmm, oui, vas y, j’ aime ça, je ne suis plus vierge du cul, tu sais, … je suis une vraie petite salope qui aime la bite … j’ adore être enculé …

Je suis hyper excité d’ être nu dans sa voiture, assis sur le cuir de la banquette et je sens que je mouille du cul, que mon ventre est tenaillé par l’ envie de plus en plus forte d’ être fouillé, envahi par cette grosse bite que je viens de découvrir et de goûter. Quelques minutes plus tard, il trouve un chemin de traverse et arrête la voiture à l’ abri d’ un bouquet d’ arbres.

Directement il veut me sucer mais à peine a t’ il posé ses lèvres sur ma bite que je l’ arrête. J’ ai trop envie d’ être baisé ; mon excitation est à son comble, j’ ai le feu au cul comme une chienne en chaleur et c’ est devenu comme un besoin irrésistible. Je sors de la voiture, vais à l’ arrière et je pose mon torse sur le coffre tout en tendant mes reins, mon cul avec les jambes bien écartées.

J’ouvre mes cuisses à fond et m’ aide des mains pour prendre mes globes, montrer ma raie bien ouverte pour l’ inviter à me sodomiser comme ça debout et lui offrir ma vulve dont je fais sortir les lèvres anales déjà détrempées de mouille en poussant mes ourlets de chair. J’ai envie d’ être impudique à fond, obscène, dépravé ; je me sens femelle en rut, dévorée par le besoin de bite, en manque de sexe mâle dans ses entrailles … et j’ expose ma croupe, ma moule en chaleur pour être saillie.

  • Vas y, prends moi, mets moi ta queue, encule moi … bourre moi le cul …

Il n’ a toujours pas dit un mot mais trois secondes plus tard, je sens d’ abord plusieurs doigts me pénétrer et m’ élargir le trou. Mais je suis déjà dilaté, détrempé et prêt à la sodomie. Je me trémousse, je me cambre, je rue …

  • Non, vas y, baise moi tout de suite, éclate moi le trou de cul … explose ma chatte … je veux ta grosse queue dans mon ventre …

Là, il n’ hésite plus, je sens ses mains agripper mes hanches puis son bout venir sur mon trou, transpercer ma rondelle et forer son tunnel dans mon cul. Il me prend comme ça, sauvagement …

  • Oui, j’ aime comme tu m’ encules ….

Ouaawww, c’ est bon et j’ ondule des reins pour que tout son pal prenne possession de ma chatte anale brûlante de désir. Mes chairs sont chaudes, mouillées, avides et il rentre entièrement en moi d’ un seul mouvement, d’ une seule poussée jusqu’ à la garde tandis que je me recule pour m’ empaler complètement sur ce gros dard.

Il me sodomise délicieusement, déculant plusieurs fois pour mieux revenir me défoncer et envahir mon boyau. Il bourre, me lime sans ménagement, de plus en plus vite, de plus en plus fort.

Le pieu de chair me déchire le cul, coulisse entre mes fesses, glisse dans mon fourreau trempé ; il clapote, va et vient et je coule, dégouline et soudain, dans un long feulement, je jouis du cul. Le plaisir explose dans mon ventre et je chaloupe des fesses pour les frotter contre son ventre, encore mieux sentir son membre enfoui dans mon anus, le serrer, le garder captif dans mon cul en feu.

Je crie …

  • Aaaaaah, je jouis du cul, c’ est booooon … j’ aime ta queue, inonde moi …

Il fait encore un mouvement et dans un dernier coup de rein, il enfonce encore son chibre jusqu’ au plus profond de mes entrailles, son ventre claque mes fesses, ses couilles cognent les miennes et il se met à jouir et à éjaculer en criant.

  • Aaaaaah saloooope que c’ est bon, c’ est trop …

Je passe une main entre mes cuisses pour m’ emparer de son sac, lui caresser les couilles et le tenir bien au chaud dans mon puits de plaisir pendant qu’ il se répand. Il décharge, se déverse en moi et j’ adore sentir sa grosse queue s’ agiter dans mon trou tandis que son sperme jaillit. Je contracte mon fion pour traire sa bite …

  • Tu aimes, tu sens comme je suce ta queue avec mon cul, comme je l’ aspire ?

C’ est bon. Seuls des grognements me répondent à chaque spasme qui accompagne une giclée de jus et je le laisse se vider les couilles tranquillement, bien enfiché en moi. Puis quand il a fini de cracher sa semence, je le laisse sortir de mon cul, me retourne et m’ agenouille très vite.

Je ne vois rien d’ autre que l’ objet de mon désir : sa queue presque molle mais encore bien grosse, superbe, avec ce beau gland V i o l et, luisant de sperme et de mon foutre souillé de brun et je l’ embouche, l’ engobe pour la prendre tout au fond de ma gorge, la sucer, la pomper encore et en aspirer la dernière goutte de sirop.

Je bande comme un âne, ma queue sursaute et cogne mon ventre et je passe une main sous mon trou de cul pour recueillir le jus qui en gicle. Il y en a beaucoup, c’ est lourd, huileux et je commence à me branler avec cette crème puis quand j’ ai trop envie de jouir, je me relève et tend mon mandrin vers lui :

  • Suce moi maintenant s’ il te plaît, fais moi juter, jouir dans ta bouche …

A son tour de s’ agenouiller et il m’ embouche tout en me masturbant lentement d’ une main et en me doigtant profondément de l’ autre. Pour augmenter mes sensations, je me pince et tords les mamelons et il me suce, me prend en gorge profonde et me pompe amoureusement jusqu’ à ce que mon sperme jaillisse comme de la lave, faisant encore exploser mon ventre de jouissance.

J’éjacule longuement dans sa bouche et il boit mon sirop de bite en faisant des bruits gourmands, aspirant mon gland comme une ventouse pour en extraire la dernière goutte de jus.

C’est bon, très, très bon …

Quand j’ ai fini de jouir et lui d’ avaler, il me sort de sa bouche et me regarde d’ un air extatique en se pourléchant les lèvres.

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